Upon the bridge vu par Télérama

Télérama vient d'attribuer une note de 4 T (note maximale) a Upon the Bridge dans son dernier numéro (semaine du 10 au 16 mars).

Télérama considère l'album comme "l'aboutissement d'un travail entrepris dès la formation du groupe" dans le "prolongement naturel de ses réjouissants prédécesseurs". "Plus qu'un échange, on est tenté d'y voir un vrai passage à témoin"

Vraiment pas mal comme article...

Merci de l info Balou... p***** je me suis fait n***** (chui poli ce soir....) car j ai acheté celui du 3 au 9 et je voyais pas ground dessus...
2 euros pour rien lol....
bon ben je v encore deux euros a telerama je crois....

Oh c'est cool, depuis la sortie d'upon the bridge, ça m'étonnait que télérama est pas fait d'article sur upon (vu qu'ils avaient mis 4F à Hebron Gate et 3F a we free again) et je regardais régulièrement si ils faisait pas d'article(je suis abonné). Donc c'est une bonne nouvelle mais c'est bizarre qu'ils notent l'album 5 mois après se sortie plutot que de le noter quand il sort.

Bon comme je me fais pas trop de soucis pour les comptes de télérama, je recopie leur chronique d'Upon the Bridge pour ceux qui n'ont pas envi de leur donner deux euros ...
ben ouai qd on a pas de scanner on fait skon peut!

Il faut se rendre à l'évidence. Le meilleur groupe de reggae du moment est américain. Alors que, du côté de Kingston, les Capleton, Sean Paul, Buju Banton ou Elephant Man se livrent à une véritable surenchère pour décliner le dancehall à tous les temps, Groundation offre une cure de jouvence au reggae roots. Prolongement naturel de ses réjouissants prédécesseurs, ce cinquième album résonne comme l'aboutissement d'un travail entrepris dès la formation du groupe, en 1998. Soit la construction d'un pont entre la musique des rastas et le jazz. Emmenés par le charismatique Harrison Stafford, chanteur-guitariste à la voix nasillarde élevé dans la culture reggae par des parents membres des Douzes Tribus d'Israel (Importante organisation rasta d'orientation chrétienne), les Californiens ne conçoivent la création qu'à partir de l'improvisation. D'où ces digressions inspirées, solos ou dialogues de cuivres, duels de claviers, qui entrecoupent des chansons à la construction quasi parfaite et à la pulsation aspirante.
L'écriture de Groundation compte parmi les plus élaborées que l'ont ait entendues en matière de reggae depuis Bob Marley. Ce n'est donc pas un hasard si les vétérans jamaicains se bousculent au portillon pour apporter leur contribution vocale au groupe. Hier Don Carlos (Black Uhuru), Ras Michael ou The Congos ; aujourd'hui Pablo Moses et Ijahman Levi, dont les incantations, toujours lumineuses, irradient le lancinant Sleeping Bag-O-Wire. Plus qu'un échange, on est tenté d'y voir un vrai passage à témoin.
Frédéric Péguillan

voila, donc 4T/4T et une zolie photo de notre ami Harrison (la même qu'il y a dans l'interview reggaefrance) annotée ainsi: "Harrison Stafford, rasta californien inspiré"

Voila vous savez tout.
cool fini

Qu'est ce que t'as contre Télérama Natty ? C'est un vrai journal avec des opinions ! Pas comme Télé 7 Jours.

Moi je suis abonné depuis le début.

Je crois pas que Natty ait voulu critiquer télérama, juste dire qu'ils ne devaient pas manquer trop de sous

bien ctarticle en tout cas, c'est bien de voir groundation dans ce genre de trucs lus par pas mal de monde

ouai j ai rien contre télérama, enfin je connais quasiment pas... c juste le fait de mettre deux euros rien que pour l article pour les gens qui l acheteraient pas sinon quoi